Le démarrage des travaux de construction de certaines voiries de l’intérieur du pays tardent encore à être effectif, c’est du moins ce qu’annonce président national de la jeunesse CEDEAO. Dans un point de presse animé ce samedi 09 février 2019, cet activiste de la société civile denonce la lenteur et cela malgré le déblocage des fonds, qui seront destinés à l’exécution des travaux. « Nous avons constatez que les travaux, qui ont été lancé particulièrement en haute Guinée a savoir Kerouané, Kankan, la route de Mandiana et la correction à Siguiri les travaux n’évoluent pas. Je rappelle, qu’il y a trois volet des travaux, qui ont été lancé à Kerouané, il s’agit des travaux sur le pont du fleuve Milo entre Kerouané et Banankoro. La route Kerouané et Kankan ainsi que les voiries de la ville de Kerouané » a déploré Dorah Aboubacar Koïta, président national de la  jeunesse CEDEAO.

Cependant, il a également expliqué les raisons, qui empêcherait le démarrage des travaux. « Nous avons évoqué, les causes qui sont à la base de se retard. Il s’agit des citoyens, qui habitent ces localités, qui ne sont pas encore dédommagés par l’Etat. Et cela malgré les discutions, que l’Etat à travers le ministère eu avec l’entreprise, qui à la responsabilité  d’exécuter ces travaux. Le montant de dédommagement s’élève entre 800 à 900 millions de francs guinéens. A rappler que le financement assuré par trois fonds, comporterait aussi un flou Abyssal. Un premier montant mis à disposition par l’un des partenaires serait déjà décaissé alors que la société ne l’a pas reçu et aucune trace pour le moment de ce montant en francs guinéens entre la Banque Centrale de la République de Guinée et le ministère des Travaux Publics » a-t-il laissé entendre.

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