La lutte contre l’ethnocentrisme en milieu scolaire, une préoccupation des responsables de certains établissements d’enseignement de la capitale. Pour éradiquer cette problématique, une conférence sur le thème a été initié ce vendredi 1er mars 2019, dans une école de la place. Une manière pour les acteurs du système éducatif de faire comprendre aux élèves les impacts liés à ce phénomène.
C’est un conférence débat, qui s’inscrit dans le cadre de la lutte contre l’ethnocentrisme en milieu scolaire. Une rencontre d’échange au cours de laquelle, des stratégies ont été élaboré afin d’endiguer le problème. « Avec les temps, qui cours et la situation qui se détériore, il est question qu’à tous les niveaux que chacun sorte les vrais arguments pour barrer la route au communautarisme et à l’ethonocentrisme. C’est l’une des raisons, qui nous a motivé à venir animer cette conférence dans cette école. Aujourd’hui, nous savons que l’école, c’est la famille et les enfants doivent grandir avec de belles idées. C’est idées doivent être partagée dans les milieux scientifiques comme l’école. C’est pourquoi, on a abordé beaucoup de thème lié notamment aux noms de familles et côté cosmopolite de la population. » A expliqué André Flamy Lélano, conférencier.
Pour les encadreurs, cette initiative vise à contribuer pour l’émancipation et le développement de la Guinée dans le domaine éducatif. « Depuis des temps, nous avons constaté dans des écoles, que ce thème est indispensable puisque dans des ecoles, les élèves et les enseignants également avait commencé à ressentir les premises de l’ethonocentrisme. C’est dix dernière années, nous avons constaté également que le pays récent ses premises, étant guinéen on a décidé avec mes enseignants en commun accord avec la direction d’organiser cette conférence. « A laissé entendre Ibrahima Sory Diaby, Directeur Général du groupe scolaire Bafodé Diaby.
Des heures de débat, qui ont permis aux apprenants de tirer des leçons par rapport à la thématique. « Je viens de constater, que l’ethnocentrisme est quelque chose qu’on doit mettre fin car ce n’est pas bon pour le pays. Je demande à la population guinéenne de changer sa manière de vivre. Il faut que chacun comprenne, que nous sommes une famille et qu’on doit vivre ensemble. « A Gnango Théa, élève.
Un débat d’idée, qui s’est fait en présence des élèves, enseignants et parents.
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