L’humanité célèbre le 21 septembre de chaque année la journée internationale de la paix, sous le thème »le droit à la paix ». En Guinée ce vendredi, le ministre de l’unité nationale et de la citoyenneté a mis l’occasion à profit pour parler des mouvements sociaux auxquels reste confronté le pays. Pour Kalifa Gassama Diaby, cette situation se matérialise par le non-respect des lois de la République.

Dans une déclaration lue devant la presse,  le ministre de l’unité nationale et de la citoyenneté n’a pas manqué de souligner, que le système démocratie de la Guinée se perd dans des conjonctures malsaines.  Selon Kalifa Gassama Diaby, les citoyens usent de la force en ignorant les lois de la République.

Cependant, il rappelle que les violences et les injustices subies récemment à Mandiana ne seraient certainement pas arrivée si les précédents à Conakry, Kindia, Boké, Siguiri où dans la région forestière avaient été punie où sanctionnée. Avant Mandiana, combien de citoyens sont morts par balle à Conakry, où dans d’autres villes de l’intérieur du pays, où son les auteurs de ses crimes, où est la justice pour ses âmes tristement arrachées avec des familles plongées dans la tristesse. C’est insupportable et cela est une menace pour notre paix collective a-t-il déclaré.

Par ailleurs, il est revenu sur le rôle de l’Etat et plus particulièrement les services de sécurité et de défenses, qui est de protéger les citoyens dans toute leur diversité. Selon lui, les lois ne servent à rien, si elles ne sont pas appliquée à tous notamment les citoyens et responsables.

Une sortie médiatique du ministre de l’unité nationale et de la citoyenneté, qui intervient pendant que la Guinée se trouve confrontée à des crises socio-économique qui touchent notamment la cour constitutionnelle.

Oumar Sow

(00224) 622-209-207

Sow88oumar@gmail.com

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