Face à l’impact de la grève dans le système éducatif, qui empêche par endroit le déroulement des cours, la Guinée risque de connaître une année blanche. Interrogé ce jeudi 06 décembre 2018, le secrétaire général du SLECG s’est prononcé sur la question.
Pour Aboubacar Soumah, il y a un certains nombre de pourcentage, qui doit être atteint dans la progression de l’application du programme. Selon lui, si jusqu’à la fin du mois de décembre le pourcentage là, n’est pas atteint nous acheminerons vers l’année blanche. Il précise que cela se jusfie par le faite, qu’il y a trois mois de vacances alors qu’on ne peu pas travailler pendant ces mois de vacances.
Aux dires de Aboubacar Soumah, toutefois, si l’Etat, les parents d’élèves et élèves ne prennent pas leur responsabilité, jusqu’à la fin du mois de décembre nous allons connaitre inévitablement une année blanche.
A la question de savoir qui décrète l’année blanche, il répond que se sont les institutions chargés du contrôle au plan international de l’éducation qui vont proclamer l’année blanche.
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