La route Niger, qui mène du carrefour constantin au marché de Madina se dégrade peu à peu. Pour en savoir davantage sur les raisons de cette dégradation, nous avons rencontré ce lundi 25 mars un ingenieur en pont et chaussée. Pour cet expert en la matière, la formation des nids de poules sont les résultantes dûe au défaut de conception de certaines voiries.
Des routes de la capitale malgré leur réfections, qui n’a pas assez durée présentent par endroit des signes de dégradation. C’est le cas de la route Niger où des usagers, se bousculent en longueur de journée vu par endroit l’état de cette voirie. Une situation, qu’un spécialiste tante d’expliquer. « C’est un problème de remonté capilaire, qui est à la base de la destruction rapide de cette voirie. » A expliqué Balla Moussa Konaté, ingénieur ponts et chaussées.
Pour, que ces routes soient consolidé afin de rapporter au pays dans la durée, cet ingénieur egraine quelques pistes de solution. « Il faut avoir la stratégie de l’efficacité globale à tous les niveaux. A savoir au niveau de la conception, de la construction, du contrôle des travaux mais aussi de l’entretien. » A-t-il laissé entendre.
De l’avis de Balamoussa Konaté, le bitumage de certaines périphérie présente également des avantages dans la vie socioéconomique. » La construction des routes dans les quartiers, contribue à diminuer la masse de poussière, qui ne favorise pas la santé. Elle permet aux activités économiques de se développer » A-t-il ajouté.
Des précisions, qui devraient interpeller les autorités en charge des travaux publics, qui poursuivent les opérations de réfections et de construction des voiries de la capitale ainsi que celles de l’intérieur du pays.
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