En conférence de presse à la veille du coup d’envoi de la CAN-2019, le président de la Confédération africaine de football, Ahmad Ahmad, est revenu sur plusieurs points relatifs à l’organisation du tournoi, notamment l’arbitrage.
Alors que le continent se prépare au coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des nations 2019, le président de la Confédération africaine de football (CAF), Ahmad Ahmad, s’est présenté face à la presse, jeudi 20 juin, pour la traditionnelle conférence de presse d’inauguration. Durant une heure environ, il s’est félicité de l’organisation égyptienne et a évoqué plusieurs points cruciaux sur le tournoi lui-même, mais aussi sur les à-côtés.
L’annonce majeure du président Ahmad touche à l’arbitrage. Un sujet qui n’a pas franchement mis le football continental dans les meilleures dispositions ces dernières semaines, avec le fiasco de la finale retour de la Ligue des champions africaine, interrompue à la suite d’un souci vraisemblablement provoqué par un dysfonctionnement de l’assistance vidéo (VAR).
Une assistance vidéo sera finalement partie prenante en Égypte, même s’il faudra attendre les quarts de finale pour qu’elle entre en jeu. « Si vous regardez les différents pays qui utilisent la VAR, vous voyez bien qu’ils ne se précipitent pas. C’est une technologie que l’on ne maîtrise pas encore totalement. Après discussions et concertations avec les techniciens, nous avons hésité entre les demi-finales et les quarts de finale. Le comité exécutif a tranché pour les quarts. […] N’oubliez pas qu’il y a des matches où il n’y a pas de VAR ! », a longuement expliqué Ahmad Ahmad pour justifier cette décision.