Des acteurs politiques et ceux de la société civile continuent de fédérer au sein des mouvements contre une éventuelle modification de la constitution au profit d’un 3e mandat. C’est dans cette dynamique, que « les brassards rouges » ont été créé. A travers ce mouvement, les iniateurs disent s’opposer à toutes idées visant à ternir l’image de la démocratie en Guinée. « Pour nous, un député périmé est complice d’une question de 3e mandat dont nous allons pas cotionner. Ensuite dire non à un éventuel 3e mandat et à un glissement de calendrier. C’est de ça, qu’ il s’agit. » A déclaré Lansana Diawara, coordinateur du mouvement des brassards rouges de Guinée.
Après la mise en place des antennes dans le cinq communes de Conakry, le mouvement des brassards rouges entend s’orienter vers l’intérieur du pays pour le même exercice. Pour le Bloc-Liberal son adhésion au sein de ladite structure se justifie à travers la défense des valeurs démocratiques du pays que s’est fixé le mouvement. « Aujourd’hui, nous sommes en phase d’une situation où tous les guinéens sont obligés de se mettre ensemble pour mener le combat. Les deux fondateurs viennent de le dire, le nom du mouvement, c’est le combat pour les guinéens. C’est pourquoi Dr Faya m’a instruit de venir au niveau des initiateurs afin de leur temoigner notre soutien. » A laissé entendre Oumar Sanoh, 3e vice-président du Parti Bloc-Liberal.
Commentaires