Inscrit dans le cadre du programme d’accompagnement du PNDS 2016-2020, le Système des Nations Unies à travers le PNUD en collaboration avec le gouvernement guinéen a tenu à Conakry ce mercredi 17 octobre 2018, un atelier sur le cluster transformation et de gestion durable du capital naturel. L’objectif de cette revue sectorielle, est de partager avec l’ensemble des parties prenantes les résultats, les contraintes, les leçons apprises au cours de l’année 2018 et les perspectives de 2019 en lien avec le CPPD 2018- 2022 et PNDES.
Dans son allocution, Bassekou Condé, Directeur National du plan et de la prospective qui était le représentant du ministre du plan, a mentionnée la pertinence de ce programme pour le gouvernement guinéen. « Vous avez, nous sommes avec les Système des Nations Unies, il y a un protocole, qui existe entre nous dans le cadre de l’harmonisation et de l’alignement sur les priorités guinéennes. Alors aujourd’hui, la principale priorité guinéenne, c’est le plan national du développement économique et sociale qui est lui-même le fédérateur de toutes les interventions en matière du développent en république de Guinée. S’ils tiennent un atelier pour une revue sectorielle parce que ça concerne les deux ou trois piliers du PNDS. Cela justifie la présence du ministère du plan qui est le coordinateur de ces activités, le détenteur de ce document et qui s’en occupe de la vulgarisation et l’évaluation » a-t-il mentionné.
Eloi Kouadio IV Directeur Général Adjoint du PNUD en Guinée est longuement revenu sur la portée de ce présent programme. « Le Cluster Transformatique et Gestion durable du Capital Naturel, qui fait l’objet de cette revue sectorielle est constitué de deux (2) programmes. Le 1er programme concerne la transformation économique, qui traite des problématiques d’emplois et d’insertions socioéconomique des jeunes, entreprenariat , l’autonomisation des femmes, développement de chaines de valeur) . Le 2ème, le programme est basé sur l’environnement et la gestion durable du capital naturel,qui traite le renforcement de la résilience des communautés et l’adaptation au changement climatique, l’élaboration d’outils et politiques stratégiques, promotion des villes et villages durables, la gestion durable des déchets, le développement des énergies renouvelables » a-t-il conclu.
Ibrahima Camara
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