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Affaire 3e mandat, discours ambassadeur Russe : des activistes des la société civile haussent le ton

Pendant que le président de la République, ne s’est pas encore prononcé. Des acteurs de la société civile guinéenne mettent en garde contre toute éventuelle volonté de briquer un 3e mandat. Par la même occasion, le président du Conseil Régional des Organisations de la Société Civile, interpelle les puissances étrangères à ne pas s’ingérer dans les affaires internes de la Guinee avant avant d’appeler au respect des principes et valeurs de la constitution du pays. « Sachons qu’une fois encore, si c’est leur politique de défendre, un glissement ou un 3e mandat, je ne sais, mais c’est à nous de défendre notre constitution. C’est à nous de défendre les principes et valeurs auxquels nous nous sommes fixés dans le cadre du fonctionnement de notre Etat pour l’épanouissement de la population. Une fois encore sa ne revient pas à une puissance ou un consortium de puissances d’imposer en quelque sorte le nombre de mandat. Nous nous sommes déjà prononcé sur ça, nous avons dit que nous voulons deux mandats » a confié Abdoul Sacko, président du conseil régional des organisations de la société civile.

Le Président National de la jeune CEDEAO, reste optimiste que le chef de l’Etat est à son deuxième et dernier mandat. Donc, selon Dorah Aboubacar Koïta, il n’est pas question de mettre en cause la légalité de cette constitution. « Ça c’est clair, c’est comme si c’est un signe annonciateur d’un 3e mandat. Ce que nous savons, les textes sont clairs, le président de la République est à son 2e et dernier mandat. Ce qui sont en train de dire que la constitution guinéenne n’est pas conforme se sont des bavardages. Ce que nous savons, le 1er mandat du président et sont second tirent leur légalité et légitimité de cette constitution là. Si aujourd’hui, il faut mettre en cause cette constitution, ce n’est pas aujourd’hui, il fallait le faire. Il fallait le faire depuis 2010 » a déclaré Dorah Aboubacar Koïta, président national de la jeunesse CEDEAO.

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