Accueil Accueil Politique Coopération- interinstitutionnelle: une mission de parlement suisse séjourne à Conakry

Coopération- interinstitutionnelle: une mission de parlement suisse séjourne à Conakry

Une délégation du parlement suisse, dirigée par le président du Conseil national, poursuit sa mission de concertation avec les institutions Guinéennes afin de  redynamiser ces relations de coopération et de partenariat avec la Guinée. Cette délégation a été accueillie cr dimanche 14 octobre 2018 par le président de  l’Assemblée Nationale, Claude Kory Kondiano.

Dominique De Buman, président du conseil national suisse, a échangé  ce lundi 15 octobre 2018 avec ses homologues du parlement guinéen sous les auspices du le président de  l’Assemblée Nationale, Claude Kory Kondiano. La délégation a exprimé sa détermination à œuvrer en faveur du rétablissement des relations entre le parlement suisse et celui de la guinée à travers la mise en place de groupes d’amitié et de partage d’expériences.

Honorable Dominik De Buman, a mis un accent sur un certains nombre de choses, que la suisse peut apporter à la guinée. Plusieurs questions relatives au développement ont été débattues entre ces deux institutions dans l’intérêt de la population. Il s’agit notamment, la question énergétique, migratoire, et celle de l’agriculture avant de faire la rétrospective sur l’historique des relations entre la Guinée et la Suisse.

« Il y a un certains nombre de relation, qui se sont établit depuis longtemps entre la Guinée et la suisse. Depuis, votre indépendance, nous avons été le premier pays à reconnaitre votre souveraineté étatique. D’autre élément de histoire nous on rapproché, il y a eu la crise importante de lutte contre le virus Ebola, qui a pu d’être éradiquer avec la participation du savoir et de force suisse en la matière. »

D’autre point débattus était axé sur l’agriculture. «  la Guinée est  le château d’eau comme la suisse. Donc, il y a des possibilités d’abord lié en mon avis à l’agro-alimentation  en Guinée. Car, chez nous, il y a peut être moins de problème de sécheresse. Le  château d’eau a des avantages, qui a servi d’avantage à la force électrique. Il me semble important de voir l’intérêt commun que nous avons à développer en matière  solaire, qui ne dégage aucune conséquence, aucune pollution qui doit être digéré, colmaté, a simulé par l’être humaine. Dans le domaine de matière première, nous avons intérêt à ce que cette chaine du commerce de matière première se fasse de manière juste, raisonnable a tous nos échelons de ce phénomène. Par ce que nous sommes en dépôt de l’essentiel dans le monde du commence de la  matière premières et surtout que notre savoir faire suisse soit lié à une formation professionnelle et académique. Pour la question humaine, il y a déjà eu des accords entre la suisse et la Guinée en matière de la migration depuis 2011, grâce a votre libre circulation des personnes, que vous avez ici en Afrique occidentale, vous avez une habitude précisément de ce que nous pouvons ainsi prendre en considération de façon que la stratégie de l’Afrique soit aussi a l’ordre. Nous collaborons étroitement en matière migratoire. »

Le président de l’assemblé nationale, Claude kary Kondiano a remercié ses hôtes d’avoir effectué cette visite qui selon lui permet de relancer les relations de coopération. « Au nom de mon  institution, je  remercie cette délégation d’avoir effectué ce déplacement, qui va nous permettre de relancer les relations de coopérations. Notre pays est un  château d’eau de l’Afrique, par ce que c‘est  ici que beaucoup de fleuves  prennent leurs sources. Alors,  c’est une potentialité et qui devait être exporté tres tôt, mais lorsque le projet de Konkouré a été ficelé, le financement trouvé, cela a coïncidé a l’époque l’idée d’Independence. La vision  dans ce domaine le  premier responsable de la République, quand il est arrivé au pouvoir   Alpha Condé alors qu’il était le président de son parti a relancé l’idée d’exécuter ce projet du Konkouré et il  a dit aussi aux  guinéens  vous allez faire Garafiri mais vous ne pouvez pas exploiter efficacement le potentiel   que Dieu nous a donné. Donc  pour avoir efficacement  le courant, il faut  Kaleta,  il faut que Souapiti, et Amaria soient  réalisés. Aujourd ‘hui, il est entrant de mettre tout  ces idées en  exécutions pour avoir le courant. »

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