Des personnes rien que pour leur handicap sont le plus souvent marginalisé au sein de la société. Face à cette situation, ces personnes victimes de préjugés ne baissent pas les bras. Pour en savoir d’avantage sur leur vie de tous les jours, nous avons rencontré à l’occasion de la fête des femmes certaines d’entre elle.
En République de Guinée, nombreuses sont ces personnes qui sont victimes de préjugés sociaux. Une marginalisation dûe au caractère physique, que présente la personne dans la société. Malgré celà, d’aucun travail dure afin de prouver le contraire à face du monde. C’est le cas de cette femmes victimes de l’albinisme. « D’autres pensent, que naître albinos signifie se livrer à la mendicité. Je crois, que ce n’est pas le cas. Il faudrait, que l’on travaille dure pour obtenir ce que l’on veut. » A laissé entendre Hadjiratou Bah, journaliste.
Diplômé en histoire des relations internationales, cette autre femme, dit ne pas être affecté par sa situation physique. C’est d’ailleurs l’une des raisons, qui la pousse travail d’arrache pied afin de subvenir à ses besoins. « Je ne me suis jamais senti marginalisé. Je demande aux femmes de se battre pour leur autonomie. Elles ne doivent pas tout attendre de leur mari. » A confie Oumou Hawa Diallo, activiste.
Pour cette femme, qui fait carrière au sein des médias, le constat révèle qu’il y a peut de personnes de son genre, qui n’ont pas la chance d’intégrer l’administration pour des raisons qu’elle invoque. « Regarder dans l’administration, vous verrez qu’il y a peut de femme qui y sont ce qui n’est pas normal. Je crois, que c’est une situation qui doit changer. » A déploré Hadjiratou Bah, journaliste
Une situation, qui pousse cette couche vulnérable à interpeller les uns et les autres à un eveille de conscience pour un changement de mentalité.
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